วันเสาร์ที่ 25 ตุลาคม พ.ศ. 2551

มาชู ปิกชู ประเทศเปรู


ในช่วงคริสต์ศตวรรษที่ 15 จักรพรรดิ ปาชาคูเทค ยูปันกี ซึ่งเป็นผู้ก่อตั้งอาณาจักรอินคา ได้สร้างเมืองแห่งหนึ่งบนภูเขาซึ่งปกคลุมไปด้วยเมฆหมอกชื่อว่า มาชู ปิกชู (มีความหมายว่าภูเขาโบราณ) ปัจจุบันอยู่ในประเทศเปรู ที่ตั้งของเมืองนี้ค่อนข้างกันดารยากที่จะเข้าถึง โดยตั้งอยู่บนที่ราบสูงแอนดิส ลึกเข้าไปในป่าอเมซอนและอยู่เหนือแม่น้ำอุรุบัมบา ซึ่งภายหลังชาวอินคาได้อพยพออกจากเมืองนี้เนื่องจากเกิดโรคระบาดขึ้น หลังจากอาณาจักรอินคาล่มสลายจากการพ่ายแพ้สงครามให้กับชาวสเปน เมืองแห่งนี้ก็ได้หายสาบสูญไปกว่า 3 ศตวรรษ จนกระทั่งได้รับการค้นพบใหม่โดยฮิราม บิงแฮม นักโบราณคดีชาวอเมริกัน ในปี พ.ศ.2454

วันอาทิตย์ที่ 19 ตุลาคม พ.ศ. 2551

Armoiries de la France

Les armoiries de la France représentées ici sont officieuses, la République française n'ayant pas d'armoiries officielles à l'heure actuelle. Depuis le 4 septembre 1870, en effet, la France n'a plus d'armoiries et aucun acte du pouvoir n'a véritablement sanctionné les essais des différents services qui ont voulu faire revivre une héraldique républicaine changeante.

Emblèmes en vigueur
Écu posé sur un faisceau de licteur en pal
Ces armoiries sont une composition d'artiste, peu orthodoxe d'un point de vue héraldique. Il s'agit d'un bouclier fantaisiste tout en largeur, les angles du chef relevés et terminés par des têtes de lion (à dextre[1]) et d'aigle (à senestre), au monogramme RF (initiales de République française) sur un champ en rayures verticales[2]. Cet "écu" est posé sur un faisceau de licteur en pal, la hache tournée vers senestre, ainsi que sur deux branches passées en sautoir, olivier (symbole de paix) et chêne (symbole de pérennité). Le faisceau de licteur est un symbole de la République romaine antique.
Cette composition est, à l'origine, l'œuvre du sculpteur
Jules-Clément Chaplain. Elle fut utilisée sous la IIIe République, par le ministère des affaires étrangères, à partir du 29 juillet 1912.
Elle fut reprise par l'artiste
Robert Louis en 1953, à la demande d'une commission interministérielle qui se réunit le 3 juin 1953, afin de répondre à la demande du secrétariat des Nations unies qui désirait orner la salle d'assemblée de panneaux reproduisant les armoiries officielles de chaque État membre. Devant la difficulté à obtenir une solution satisfaisante, cette commission émit le vœu que le gouvernement puisse statuer sur l'adoption d'armoiries officielles de la IVe République, et décida que la République française serait, en l'attente d'une solution définitive, représentée par « une composition rappelant celle adoptée par la IIIe République pour les postes diplomatiques et consulaires à l'étranger ».
Malgré cela, la composition ci-contre est utilisée par le
ministère des Affaires étrangères pour désigner ses postes diplomatiques et consulaires, sur la couverture des passeports français, ainsi que par site de la Présidence de la République.
La présence de ces armoiries françaises officieuses sur les
passeports français s'explique, en partie, par le fait que, dénué de couleurs le drapeau ou l'écusson tricolore ne sont, biensûr, pas reconnaissables, au contraire du faisceau de licteur qui peut être représenté de façon monochrome. Selon les accords internationaux de normalisation des pièces d'identité utilisées pour la circulation des personnes, la couverture du passeport français ne pouvait rester non-identifiable.





Armoiries officieuses de la République française




Symbole de la République française sur le bâtiment de l'ambassade de France à Prague


Couverture du passeport français biométrique




L'écusson tricolore
Aux fenêtres et balcons des édifices publics comme les mairies ou les préfectures, les drapeaux sont souvent tenus à l'arrière d'un porte-drapeaux, généralement un écusson tricolore avec le monogramme « RF » et des palmes.



Écu quelquefois employé comme porte-drapeau, mais n'ayant pas valeur de blason officiel de la République française.


Porte-drapeaux au "Palais du commerce", à Rennes (France).

























































































วันจันทร์ที่ 13 ตุลาคม พ.ศ. 2551

Château de Versailles


Le château de Versailles fut la résidence des rois de France Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Résidence royale, ce monument compte parmi les plus remarquables de France et du monde tant par sa beauté que par les événements dont il fut le théâtre. Le roi et la cour y résident de façon permanente du 6 mai 1682 au 6 octobre 1789 à l'exception des quelques années de la Régence. Il est situé au sud-ouest de Paris, dans la ville de Versailles, France. Ce château est devenu un symbole de l'apogée de la royauté française. La grandeur des lieux se voulait à l'image de celle des rois successifs.
Le château est constitué d'une succession d'éléments ayant une harmonie architecturale. Il s'étale sur 67 000 m² et comprend plus de 2 000 pièces.
Le parc du château de Versailles s'étend sur 815 ha (8000 avant la Révolution) dont 93 ha de jardins. Il comprend de nombreux éléments dont le petit et le grand Trianon, le hameau de la Reine, le grand et le petit Canal, une ménagerie, une orangerie et la pièce d'eau des Suisses.



Présentation architecturale et artistique


Le château de Versailles constitue un témoin exceptionnel de l'art français aux XVIIe et XVIIIe

siècle. L'architecture reprend les canons du classicisme : la symétrie du plan, les façades à colonnades, l'inspiration antique ou mythologique dans le choix des sujets sculptés. Quelques touches baroques apportent un peu de fantaisie à cette rigueur classique.
L'implantation de ce monumental ensemble architectural crée une barrière entre la ville et le domaine. Selon le souhait de Le Nôtre, afin de ménager ses effets, on ne devait rien voir de la ville depuis les jardins et rien deviner des jardins depuis la ville.
Le château reste attaché à la figure de Louis XIV (1638-1715) mais ce fait ne doit pas occulter que sa construction et ses aménagements dépassent largement le cadre du règne du Roi-Soleil.Le cœur du château est formé par l'édifice primitif qui remonte au temps de Louis XIII, le père de Louis XIV. Il tranche avec les autres parties par ses murs bicolores (brique et pierre) et son haut toit d'ardoises.Ce « château vieux » est en partie enveloppé dans une construction plus récente, édifiée par les architectes Le Vau et d'Orbay sur l'ordre de Louis XIV en 1668. Côté jardins, cette partie présente une façade à l'ordonnance classique à trois étages. Le deuxième niveau (occupé par la galerie des Glaces) est éclairé par de hautes fenêtres encadrées par des colonnes engagées ou des pilastres. Des pilastres que l'on retrouve au dernier étage, de hauteur moindre. Au sommet du bâtiment, une balustrade cache le toit très aplati (toit à la Mansart).Le « château vieux » et le « château neuf » forment un plan grossièrement en U. Deux longues ailes prolongent au nord et au sud ce premier ensemble. Construites par un autre architecte, Jules Hardouin-Mansart, elles reprennent pourtant les grandes lignes de l'enveloppe de Le Vau.
L'intérieur du château est notamment occupé par les grands appartements. Ceux-ci comprennent le grand appartement du roi, l'appartement de la reine et la galerie des Glaces. Les appartements correspondent à des enfilades de salons magnifiquement décorés jusqu'aux plafonds par les artisans de Charles Le Brun.Longue de 73m, la galerie des Glaces se veut la salle la plus majestueuse du château. Elle s'ouvre d'un côté sur le jardin tandis que l'autre est couvert de 17 panneaux de miroirs.Aux grands appartements répondent les petits appartements. On y trouve des pièces plus intimes que les grandes salles d'apparat. Louis XV y conviait à souper ses proches et Louis XVI y installa sa petite forge de serrurier. Les appartements ne sont pas toujours dans leur configuration d'origine, c'est-à-dire du temps de Louis XIV. L'appartement de la reine se présente par exemple dans son état de 1787 quand Marie-Antoinette l'habitait.
En plus de ces bâtiments résidentiels, le château est complété par la chapelle et l'opéra. Dans la chapelle, élevée entre 1689 et 1710, les rois assistaient à la messe quotidienne. L'opéra, inauguré en 1770, est l'un des derniers édifices construits du château.


Les musées

Les musées du château de Versailles furent créés en 1837 par Camille Bachasson, comte de Montalivet sur ordre de Louis-Philippe sous le nom de « Musée d’Histoire de France ».

Le château vu du sud-ouest.
Ils constituent, avec leurs 18 000 m² le plus grand musée d’histoire du monde. Le musée contient une collection de tableaux rassemblés ou commandés par Louis-Philippe, et organisés en séries historiques. Pour les exposer, certains appartements ont été transformés en salles de musée.
À l’heure actuelle, le musée d’histoire de France se situe dans les ailes, tandis que la partie centrale (à l’exception du rez-de-chaussée), contenant les Grands Appartements, les appartements privés et ceux de la famille royale ont été restaurés tels qu’ils étaient lorsqu’ils étaient occupés.

Les musées du château de Versailles furent créés en 1837 par Camille Bachasson, comte de Montalivet sur ordre de Louis-Philippe sous le nom de « Musée d’Histoire de France ».

Le château vu du sud-ouest.
Ils constituent, avec leurs 18 000 m² le plus grand musée d’histoire du monde. Le musée contient une collection de tableaux rassemblés ou commandés par Louis-Philippe, et organisés en séries historiques. Pour les exposer, certains appartements ont été transformés en salles de musée.
À l’heure actuelle, le musée d’histoire de France se situe dans les ailes, tandis que la partie centrale (à l’exception du rez-de-chaussée), contenant les Grands Appartements, les appartements privés et ceux de la famille royale ont été restaurés tels qu’ils étaient lorsqu’ils étaient occupés.




พระราชวังแวร์ซายส์


พระราชวังแวร์ซายส์ (ภาษาฝรั่งเศส: Château de Versailles) เป็นพระราชวังหลวงแห่งหนึ่งของประเทศฝรั่งเศส ตั้งอยู่ที่เมืองแวร์ซายส์ ซึ่งปัจจุบันเป็นส่วนหนึ่งของมหานครปารีส พระราชวังแวร์ซายส์เป็นพระราชวังที่ยิ่งใหญ่และสวยงามแห่งหนึ่งของโลก และนับเป็นหนึ่งในเจ็ดสิ่งมหัศจรรย์ของโลกยุคปัจจุบันด้วย


ประวัติ


เดิมนั้น เมืองแวร์ซายส์เป็นเพียงเมืองเล็ก ๆ แห่งหนึ่งเท่านั้น มีผู้คนอาศัยอยู่เบาบาง บริเวณส่วนใหญ่เป็นป่าเขา เยี่ยงชนบทอื่น ๆ ของฝรั่งเศส เมื่อพระเจ้าหลุยส์ที่ 13 ยังทรงพระเยาว์ ขณะพระชนมายุได้ 23 พระชันษา ทรงนิยมล่าสัตว์ในป่า และทรงเห็นว่าตำบลแวร์ซายส์น่าจะเหมาะแก่การประทับเพื่อล่าสัตว์ จึงโปรดเกล้าฯ ให้สร้างพระตำหนักขึ้นมาใน พ.ศ. 2167 โดยในช่วงแรกเป็นเพียงกระท่อมเล็กๆ สำหรับพักชั่วคราวเท่านั้น
เมื่อ พระเจ้าหลุยส์ที่ 14 แห่งฝรั่งเศส ขึ้นครองบัลลังก์ มีประสงค์ที่จะสร้างพระราชวังแห่งใหม่ เพื่อเป็นศูนย์กลางในการปกครองของพระองค์ จึงเริ่มปรับปรุงพระตำหนักเดิมในปี พ.ศ. 2204 ใช้เงินทั้งหมด 500,000,000 ฟรังก์ คนงาน 30,000 คน และใช้เวลาอยู่ถึง 30 ปีจึงแล้วเสร็จในพ.ศ. 2231 ทุกส่วนทำด้วยหินอ่อนสีขาว เป็นแบบอย่างศิลปกรรมที่งดงามมาก ภาย ในแบ่งออกเป็นห้องๆ เช่น ห้องบรรทม ห้องเสวย ห้องสำราญ ฯลฯ ทุกห้องล้วนมีเครื่องประดับงดงามตระการตาและภาพเขียนที่มีชื่อเสียง
การก่อสร้างพระราชวังแวร์ซายส์แห่งนี้ได้นำเงินมาจากค่าภาษีอากรของราษฎรชาวฝรั่งเศส ต่อมาจึงได้มีกองทัพประชาชนบุกเข้ายึดพระราชวังและจับพระเจ้าหลุยส์ที่ 16 กับพระนางมารี อองตัวเนต ประหารด้วย "กิโยติน" ในวันที่ 6 ตุลาคม พ.ศ. 2332 ปัจจุบันพระราชวังแวร์ซายส์ยังอยู่ในสภาพดีและเปิดให้ประชาชนเข้าชมได้

วันพฤหัสบดีที่ 9 ตุลาคม พ.ศ. 2551

Seine river



The Seine is in the middle of Paris. Geographically, it is the central axis, consequence of the part which it played in the history of the city. Very early perceived like a territorial and economic asset major, it accompanies Parisian rise.

The construction of monuments in edge of the Seine supplemented the equipment already present. The quality of the site and its success are also measured with the number of monuments which were established near its course. Since the Eiffel Tower (7th) to the National Library of France (13th).

Almost each year, the bank roads are closed for a few days, even for several weeks, because the Seine overflows of its bed. The statue of the zouave of the bridge of Alma is usually used as den, for the Parisian ones, to supervise the rise of water of the Seine.

The summer tourists and Parisians ones can make bicycle or rollers on the bank roads.

วันอังคารที่ 7 ตุลาคม พ.ศ. 2551

Liberté, Égalité, Fraternité


Liberté, Égalité, Fraternité est la devise de la République française.


Histoire

La devise « Liberté, Égalité, Fraternité » est issue de la Révolution française : elle apparaît dans le débat public avant la proclamation de la Première République, dès 1790. Le premier à en faire usage dans un cadre officiel est Maximilien de Robespierre, dans son Discours sur l'organisation des gardes nationales, le 5 décembre 1790 à l'Assemblée Nationale[1]. On la retrouve également dans la bouche de Camille Desmoulins, de l'anglais lord Stanhope et de Momoro[2]. Ce dernier la reprend au Club des Cordeliers le 29 mai 1791[3]. De même, elle est mise en avant lors la « fête de la liberté » donnée en l'honneur des Suisses de Châteauvieux le 15 avril 1792[4], et Jean-Nicolas Pache (maire de la commune de Paris), fait peindre sur les murs, le 21 juin 1793, la formule : « Liberté, Égalité, Fraternité, ou la mort ». La devise est progressivement abandonnée avec la fin de la Révolution, le serment de haine aux monarchistes et aux « anarchistes » étant notamment préconisé par le Directoire de l'an V à l'an VII, en lieu et place du serment de fraternité[5].
La devise ressurgit avec la révolution de 1830. Elle est ensuite régulièrement revendiquée par différents révolutionnaires, en particulier le socialiste Pierre Leroux, qui participera largement à sa reconnaissance comme principe de la République, mais aussi Alexandre Ledru-Rollin, Lamennais ou Philippe Buchez ; elle est également agréée par les participants au premier banquet communiste de Belleville, autour de Théodore Dézamy et de Jean-Jacques Pillot, en 1840, à condition que la fraternité contribue à étayer l'instauration de la « communauté »[6]. Avec la révolution de 1848, la IIe République l’adopte comme devise officielle le 27 février 1848, grâce à Louis Blanc. Sous la IIIe République, la devise est adoptée comme symbole officiel de la République[7].
Entre-temps, elle sera mise à mal avec les principes mêmes de la République : elle sera supprimée sous l'Empire et la Restauration, puis sous le Second Empire, et enfin sous le régime de Vichy (elle est remplacée par la devise Travail, Famille, Patrie). Au sein de la France libre, la devise est évitée pendant près d'un an comme « politique », pour des motifs d'opportunité[8], avant d'être revendiquée, à partir de l'automne 1941[9].


Signification des éléments de la devise

Liberté

La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 définit ainsi la liberté: « La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui ; elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait. ». « Vivre libre ou mourir » fut une grande devise républicaine.

Égalité

Deuxième terme de la devise de la République, le mot égalité signifie que la loi est la même pour tous, que les distinctions de naissance ou de condition sont abolies et que chacun est tenu à mesure de ses moyens de contribuer aux dépenses de l'État. La déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793 déclare que : « Tous les hommes sont égaux par nature et devant la loi. » Selon la déclaration des droits de l'homme de 1795 : « L'égalité consiste en ce que la loi est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. L'égalité n'admet aucune distinction de naissance, aucune hérédité de pouvoirs. ».


Fraternité

Troisième élément de la devise de la République, la fraternité est ainsi définie dans la Déclaration des droits et devoirs du citoyen figurant en tête de la Constitution de l'an III (1795) : « Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît ; faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir ».
Pendant la Révolution française, « la fraternité avait pleine vocation à embrasser tous ceux qui, français ou étrangers, luttaient pour l’avènement ou le maintien de la liberté et de l’égalité »[10].
Selon Paul Thibaud, philosophe et ancien directeur de la revue Esprit[11], « Autant la liberté et l'égalité peuvent être perçues comme des droits, autant la fraternité est une obligation de chacun vis-à-vis d'autrui. C'est donc un mot d'ordre moral. »