วันเสาร์ที่ 25 ตุลาคม พ.ศ. 2551
มาชู ปิกชู ประเทศเปรู
วันอาทิตย์ที่ 19 ตุลาคม พ.ศ. 2551
Armoiries de la France
Cette composition est, à l'origine, l'œuvre du sculpteur Jules-Clément Chaplain. Elle fut utilisée sous la IIIe République, par le ministère des affaires étrangères, à partir du 29 juillet 1912.
Elle fut reprise par l'artiste Robert Louis en 1953, à la demande d'une commission interministérielle qui se réunit le 3 juin 1953, afin de répondre à la demande du secrétariat des Nations unies qui désirait orner la salle d'assemblée de panneaux reproduisant les armoiries officielles de chaque État membre. Devant la difficulté à obtenir une solution satisfaisante, cette commission émit le vœu que le gouvernement puisse statuer sur l'adoption d'armoiries officielles de la IVe République, et décida que la République française serait, en l'attente d'une solution définitive, représentée par « une composition rappelant celle adoptée par la IIIe République pour les postes diplomatiques et consulaires à l'étranger ».
Malgré cela, la composition ci-contre est utilisée par le ministère des Affaires étrangères pour désigner ses postes diplomatiques et consulaires, sur la couverture des passeports français, ainsi que par site de la Présidence de la République.
La présence de ces armoiries françaises officieuses sur les passeports français s'explique, en partie, par le fait que, dénué de couleurs le drapeau ou l'écusson tricolore ne sont, biensûr, pas reconnaissables, au contraire du faisceau de licteur qui peut être représenté de façon monochrome. Selon les accords internationaux de normalisation des pièces d'identité utilisées pour la circulation des personnes, la couverture du passeport français ne pouvait rester non-identifiable.
Porte-drapeaux au "Palais du commerce", à Rennes (France).
วันจันทร์ที่ 13 ตุลาคม พ.ศ. 2551
Château de Versailles
Le château est constitué d'une succession d'éléments ayant une harmonie architecturale. Il s'étale sur 67 000 m² et comprend plus de 2 000 pièces.
Le parc du château de Versailles s'étend sur 815 ha (8000 avant la Révolution) dont 93 ha de jardins. Il comprend de nombreux éléments dont le petit et le grand Trianon, le hameau de la Reine, le grand et le petit Canal, une ménagerie, une orangerie et la pièce d'eau des Suisses.
L'implantation de ce monumental ensemble architectural crée une barrière entre la ville et le domaine. Selon le souhait de Le Nôtre, afin de ménager ses effets, on ne devait rien voir de la ville depuis les jardins et rien deviner des jardins depuis la ville.
Le château reste attaché à la figure de Louis XIV (1638-1715) mais ce fait ne doit pas occulter que sa construction et ses aménagements dépassent largement le cadre du règne du Roi-Soleil.Le cœur du château est formé par l'édifice primitif qui remonte au temps de Louis XIII, le père de Louis XIV. Il tranche avec les autres parties par ses murs bicolores (brique et pierre) et son haut toit d'ardoises.Ce « château vieux » est en partie enveloppé dans une construction plus récente, édifiée par les architectes Le Vau et d'Orbay sur l'ordre de Louis XIV en 1668. Côté jardins, cette partie présente une façade à l'ordonnance classique à trois étages. Le deuxième niveau (occupé par la galerie des Glaces) est éclairé par de hautes fenêtres encadrées par des colonnes engagées ou des pilastres. Des pilastres que l'on retrouve au dernier étage, de hauteur moindre. Au sommet du bâtiment, une balustrade cache le toit très aplati (toit à la Mansart).Le « château vieux » et le « château neuf » forment un plan grossièrement en U. Deux longues ailes prolongent au nord et au sud ce premier ensemble. Construites par un autre architecte, Jules Hardouin-Mansart, elles reprennent pourtant les grandes lignes de l'enveloppe de Le Vau.
L'intérieur du château est notamment occupé par les grands appartements. Ceux-ci comprennent le grand appartement du roi, l'appartement de la reine et la galerie des Glaces. Les appartements correspondent à des enfilades de salons magnifiquement décorés jusqu'aux plafonds par les artisans de Charles Le Brun.Longue de 73m, la galerie des Glaces se veut la salle la plus majestueuse du château. Elle s'ouvre d'un côté sur le jardin tandis que l'autre est couvert de 17 panneaux de miroirs.Aux grands appartements répondent les petits appartements. On y trouve des pièces plus intimes que les grandes salles d'apparat. Louis XV y conviait à souper ses proches et Louis XVI y installa sa petite forge de serrurier. Les appartements ne sont pas toujours dans leur configuration d'origine, c'est-à-dire du temps de Louis XIV. L'appartement de la reine se présente par exemple dans son état de 1787 quand Marie-Antoinette l'habitait.
En plus de ces bâtiments résidentiels, le château est complété par la chapelle et l'opéra. Dans la chapelle, élevée entre 1689 et 1710, les rois assistaient à la messe quotidienne. L'opéra, inauguré en 1770, est l'un des derniers édifices construits du château.
Le château vu du sud-ouest.
Ils constituent, avec leurs 18 000 m² le plus grand musée d’histoire du monde. Le musée contient une collection de tableaux rassemblés ou commandés par Louis-Philippe, et organisés en séries historiques. Pour les exposer, certains appartements ont été transformés en salles de musée.
À l’heure actuelle, le musée d’histoire de France se situe dans les ailes, tandis que la partie centrale (à l’exception du rez-de-chaussée), contenant les Grands Appartements, les appartements privés et ceux de la famille royale ont été restaurés tels qu’ils étaient lorsqu’ils étaient occupés.
Le château vu du sud-ouest.
Ils constituent, avec leurs 18 000 m² le plus grand musée d’histoire du monde. Le musée contient une collection de tableaux rassemblés ou commandés par Louis-Philippe, et organisés en séries historiques. Pour les exposer, certains appartements ont été transformés en salles de musée.
À l’heure actuelle, le musée d’histoire de France se situe dans les ailes, tandis que la partie centrale (à l’exception du rez-de-chaussée), contenant les Grands Appartements, les appartements privés et ceux de la famille royale ont été restaurés tels qu’ils étaient lorsqu’ils étaient occupés.
เมื่อ พระเจ้าหลุยส์ที่ 14 แห่งฝรั่งเศส ขึ้นครองบัลลังก์ มีประสงค์ที่จะสร้างพระราชวังแห่งใหม่ เพื่อเป็นศูนย์กลางในการปกครองของพระองค์ จึงเริ่มปรับปรุงพระตำหนักเดิมในปี พ.ศ. 2204 ใช้เงินทั้งหมด 500,000,000 ฟรังก์ คนงาน 30,000 คน และใช้เวลาอยู่ถึง 30 ปีจึงแล้วเสร็จในพ.ศ. 2231 ทุกส่วนทำด้วยหินอ่อนสีขาว เป็นแบบอย่างศิลปกรรมที่งดงามมาก ภาย ในแบ่งออกเป็นห้องๆ เช่น ห้องบรรทม ห้องเสวย ห้องสำราญ ฯลฯ ทุกห้องล้วนมีเครื่องประดับงดงามตระการตาและภาพเขียนที่มีชื่อเสียง
การก่อสร้างพระราชวังแวร์ซายส์แห่งนี้ได้นำเงินมาจากค่าภาษีอากรของราษฎรชาวฝรั่งเศส ต่อมาจึงได้มีกองทัพประชาชนบุกเข้ายึดพระราชวังและจับพระเจ้าหลุยส์ที่ 16 กับพระนางมารี อองตัวเนต ประหารด้วย "กิโยติน" ในวันที่ 6 ตุลาคม พ.ศ. 2332 ปัจจุบันพระราชวังแวร์ซายส์ยังอยู่ในสภาพดีและเปิดให้ประชาชนเข้าชมได้
วันพฤหัสบดีที่ 9 ตุลาคม พ.ศ. 2551
Seine river
The Seine is in the middle of Paris. Geographically, it is the central axis, consequence of the part which it played in the history of the city. Very early perceived like a territorial and economic asset major, it accompanies Parisian rise.
The construction of monuments in edge of the Seine supplemented the equipment already present. The quality of the site and its success are also measured with the number of monuments which were established near its course. Since the Eiffel Tower (7th) to the National Library of France (13th).
Almost each year, the bank roads are closed for a few days, even for several weeks, because the Seine overflows of its bed. The statue of the zouave of the bridge of Alma is usually used as den, for the Parisian ones, to supervise the rise of water of the Seine.
The summer tourists and Parisians ones can make bicycle or rollers on the bank roads.
วันอังคารที่ 7 ตุลาคม พ.ศ. 2551
Liberté, Égalité, Fraternité
La devise ressurgit avec la révolution de 1830. Elle est ensuite régulièrement revendiquée par différents révolutionnaires, en particulier le socialiste Pierre Leroux, qui participera largement à sa reconnaissance comme principe de la République, mais aussi Alexandre Ledru-Rollin, Lamennais ou Philippe Buchez ; elle est également agréée par les participants au premier banquet communiste de Belleville, autour de Théodore Dézamy et de Jean-Jacques Pillot, en 1840, à condition que la fraternité contribue à étayer l'instauration de la « communauté »[6]. Avec la révolution de 1848, la IIe République l’adopte comme devise officielle le 27 février 1848, grâce à Louis Blanc. Sous la IIIe République, la devise est adoptée comme symbole officiel de la République[7].
Entre-temps, elle sera mise à mal avec les principes mêmes de la République : elle sera supprimée sous l'Empire et la Restauration, puis sous le Second Empire, et enfin sous le régime de Vichy (elle est remplacée par la devise Travail, Famille, Patrie). Au sein de la France libre, la devise est évitée pendant près d'un an comme « politique », pour des motifs d'opportunité[8], avant d'être revendiquée, à partir de l'automne 1941[9].
Pendant la Révolution française, « la fraternité avait pleine vocation à embrasser tous ceux qui, français ou étrangers, luttaient pour l’avènement ou le maintien de la liberté et de l’égalité »[10].
Selon Paul Thibaud, philosophe et ancien directeur de la revue Esprit[11], « Autant la liberté et l'égalité peuvent être perçues comme des droits, autant la fraternité est une obligation de chacun vis-à-vis d'autrui. C'est donc un mot d'ordre moral. »